connaissance
La gestion d’un bien candidat ou inscrit sur la liste du patrimoine mondial passe nécessairement par une connaissance fine de celui-ci. S’il existe quantité de documentation, publications autour des forteresses royales du Languedoc, les recherches et études récentes nous offrent encore quelques belles perspectives.
Asseoir la crédibilité scientifique de la démarche d’inscription
La démarche d’inscription sur la liste du patrimoine mondial a débuté par un acte symbolique fort : la constitution préalable d’un comité scientifique. C’est là le témoignage du souhait des porteurs de projet de confier la réflexion à un panel d’experts, de s’appuyer avant tout sur le sérieux et la rigueur scientifique pour porter le dossier.
De composition pluridisciplinaire et de dimension internationale, le comité scientifique a joué un rôle essentiel dans la sélection de la série des huit monuments, la proposition de la Valeur universelle exceptionnelle et dans la rédaction de l’analyse comparative internationale. Toujours actif, le comité veille au respect du sérieux scientifique de la démarche et des fondements de l’inscription ; il impulse et participe des programmes de recherche autour des monuments.
Participer à la recherche scientifique internationale
La dimension internationale d’un dossier patrimoine mondial implique nécessairement une mise en perspective des travaux de recherche à l’échelle mondiale ; en mettant en comparaison des sites similaires, en croisant des sujets d’analyse dans une volonté de favoriser le partage d’expérience, d’élever le niveau de la recherche internationale, et dans une dimension d’universalisme.
Les colloques internationaux constituent pour cela d’excellents moyens de confronter les analyses d’experts scientifiques. Deux symposiums ont notamment été organisés dans le cadre de la candidature.
Le premier en 2018 avait pour principal sujet « Châteaux et cités fortifiés, les apports des nouvelles connaissances à la notion d’authenticité ». Celui de 2021 portait sur « Fortification et pouvoirs souverains (1180-1340), Architecture fortifiée et contrôle des territoires au XIIIème siècle ».
La dimension internationale d’un dossier patrimoine mondial implique nécessairement une mise en perspective des travaux de recherche à l’échelle mondiale ; en mettant en comparaison des sites similaires, en croisant des sujets d’analyse dans une volonté de favoriser le partage d’expérience, d’élever le niveau de la recherche internationale, et dans une dimension d’universalisme.
Les colloques internationaux constituent pour cela d’excellents moyens de confronter les analyses d’experts scientifiques. Deux symposiums ont notamment été organisés dans le cadre de la candidature.
Le premier en 2018 avait pour principal sujet « Châteaux et cités fortifiés, les apports des nouvelles connaissances à la notion d’authenticité ». Celui de 2021 portait sur « Fortification et pouvoirs souverains (1180-1340), Architecture fortifiée et contrôle des territoires au XIIIème siècle ».
Diffuser la connaissance auprès des publics
Les travaux de recherche menés dans le cadre de la candidature ont vocation à être largement diffusés auprès des publics. Ils viennent accroître la connaissance des monuments, sur les plans historiques architecturaux, fonctionnels, et de leur environnement.
Ils permettent aussi de conforter la justification de l’inscription et de la Valeur Universelle Exceptionnelle du bien. Les actes des deux colloques internationaux ont fait l’objet d’une publication. La démarche d’inscription vise la mise en place d’une véritable politique éditoriale à des fins de transmission et de vulgarisation de la connaissance.
Nourrir des partenariats avec la sphère universitaire et les milieux scientifiques
Le département de l’Aude, et plus largement la Région Occitanie sont dotés d’un important maillage d’universités, écoles d’architecture, de paysage et autres structures de recherche.
Leur mobilisation autour de sujets et de thèmes particuliers en lien avec le dossier contribue également à améliorer la connaissance des forteresses, par la mise en place de programmes d’étude spécifiques permettant de valoriser la candidature.
Les travaux produits peuvent faire l’objet d’une diffusion ou de publications.
Le département de l’Aude, et plus largement la Région Occitanie sont dotés d’un important maillage d’universités, écoles d’architecture, de paysage et autres structures de recherche. Leur mobilisation autour de sujets et de thèmes particuliers en lien avec le dossier contribue également à améliorer la connaissance des forteresses, par la mise en place de programmes d’étude spécifiques permettant de valoriser la candidature. Les travaux produits peuvent faire l’objet d’une diffusion ou de publications.